Optimisation : 1024 x 768
pi.
Le malade
- Vous lisez un site de vulgarisation de l'Occlusion (dentaire),
destiné à faciliter l'approche d'une matière peu comprise ou trop
souvent mal aimée. Notre ligne de conduite pour tenter d'y accéder : peu
de texte (théorie) et beaucoup de photos ou vidéos (clinique). Donc,
BEAUCOUP de MEGA-OCTETS à télécharger ! A des fins didactiques, bon
nombre d'images sont tirées d'ouvrages médicaux : elles sont toutes
protégées par des © et ne peuvent être utilisées à d'autres fins que le
stricte usage médical. Les textes et mises en pages sont d'un passionné
de l'Occlusion de ses Patients de 7 à 77 ans et plus. Ceux-ci ont pu
bénéficier de l'Occlusodontologie, technique la plus efficace pour le
patient si elle est comparée aux effets cliniques aléatoires des autres
méthodes dentaires adoptées par le Monde scientifique international :
Gnathologie et Occlusion neuromusculaire. Donc, le peu que vous
retiendrez de cette "vulgarisation" sera notre plus grande satisfaction.
Pour toute référence "scientifique", voyez notre site principal ou
adressez-vous à qui de droit.
Le mal de tête est d'abord
une question de dents !
Il touche plus de 10 % de la population...
Pour le Médecin ou le
Dentiste, la physionomie de la malocclusion grave est rare, mais elle
reste inoubliable !
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- L'acidose musculaire conduit aux "maux de tête"
- En l'absence d'oxygène, le rendement énergétique de la
glycolyse musculaire est nettement moins (2 ATP) rentable que le
métabolisme oxydatif (36 ATP) et le système produit de plus en
plus d'acide lactique. Cet acide
stimule les terminaisons nerveuses libres, responsables de
la perception musculaire de la douleur. Cette contracture réduit le
débit sanguin dans le muscle, ce qui accentue l'état de
crampe. Ce cercle métabolique devient de plus en plus
vicieux et le muscle passe d'un état partiellement
contracturé aux crampes franches et douloureuses qui
entament les relations sociales
du patient. La localisation des douleurs va dépendre de la
localisation des crampes
musculaires et ces contractures sont
interprétées aussi comme des "maux de
tête".
- Ces maux de tête conduisent
le patient chez le Médecin,
généraliste / spécialiste, mais trop rarement chez le Dentiste.
|
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- Localisation des douleurs
- La synergie neuromusculaire posturale (gravité
terrestre) induit que l'activité des muscles de la
mâchoire inférieure dépend de la position de la tête (m. cou, m.
nuque) et que la position de la tête dépend de la position du
tronc ou des jambes et réciproquement.
- Chaque muscle ou chaque
groupe musculaire peut être le
siège unilatéral de contractures ou crampes douloureuses. Celles-ci sont
soit momentanées (réveil, matinée, midi, coucher, nuit,
repas), soit permanentes. La position couchée
(gravité terrestre) les calme, ainsi que le chaud et
l'obscurité. Notons que les acouphènes sont liés aux
m. de l'oreille moyenne, que les algies
auriculaires / A.T.M. sont dues au m.
ptérygoïdiens externe, que les crampes des muscles de la
nuque sont souvent confondues en "arthrose cervicale"
ou en "arnoldite" et que les crampes des muscles du
cou sont assimilables à une angine.
|
- La palpation des muscles
ptérygoïdiens externes est souvent un excellent témoin
objectif de la dysfonction manducatrice (malocclusion) induite par la
déglutition salivaire atypique (syn. d. s. infantile, d. s.
dysfonctionnelle). La contracture de ces muscles conduit à
incriminer l'Articulation Temporo-Mandibulaire ("A.T.M."), alors
que celle-ci peut souffrir tout au plus d'une laxité de ses ligaments ou
d'une usure / perforation d'un ménisque : le patient
bi-condylectomisé (élimination chirurgicale des
condyles articulaires) vit très bien sans ses A.T.M. Les douleurs,
que l'on attribuerait aux A.T.M. sensu stricto, proviennent en
réalité des contractures des muscles ptérygoïdiens externes. Ceci
est démontré en suffisance par les traitements efficaces des pathologies
liées à l'occlusion (dentaire).
- Quelles que soient les localisations de la douleur (face,
tête, cou, nuque) : lorsque celle-ci devient répétitive ou
permanente ou qu'elle ne répond plus de manière
durable à aucun traitement médicamenteux,
kinésithérapeute ou ostéopathe, il faut certainement
suspecter la dysfonction buccale liée
à la déglutition de la salive (0,5
tonne par an) dento-linguo-dentaire, aux effets néfastes de celle-ci
sur l'occlusion (malocclusions dento-dentaires) : le patient
"ne sait plus comment mettre ses dents les unes sur les autres"
(positions variables et chaotiques des dents, usures de celles-ci).
C'est un cercle vicieux qui distrait insidieusement les muscles
manducateurs de la fonction posturale minimale originelle lors de
la déglutition salivaire (une déglutition s. par minute)
et qui fatigue (crampes) de plus en
plus toute la musculature, manducatrice et posturale, située au-dessus
des épaules. L'adaptation à l'amplification insidieuse de la
malocclusion dentaire devient franchement prépondérante sur
l'activité physiologique originelle de posture et de
déglutition salivaire. Par adaptations posturales à la gravité
terrestre, des répercussions sur le tronc et les membres
(adaptations neuromusculaires à distance) font suite au
déséquilibre neuromusculaire de l'extrémité céphalique : la phase de repos de tous les muscles concernés
devient sérieusement contrariée, voire annihilée
(supprimée) : réduction du débit sanguin musculaire de par
la contracture (crampe) du muscle, réduction des
échanges entre le muscle et le torrent circulatoire sanguin,
réduction musculaire de l'O2 (hypoxie, anoxie),
augmentation musculaire du CO2 (hypercapnie) et de
l'acide lactique (acidose).
- Les images anatomiques (© Sobotta)
suivantes montrent qu'il serait difficile de ne jamais accepter la crampe musculaire, au niveau de la mâchoire
inférieure ou des muscles posturaux de la tête et du corps, comme signe
possible d'une dysfonction par minute de la déglutition salivaire, fonction manducatrice
par excellence, ou de 1.440 de ces dysfonctions par jour
ou de 525.600 dysfonctions mandibulaires par an de cette
même déglutition salivaire.
CINQ CONCLUSIONS. Dans la
déglutition salivaire dysfonctionnelle ( D.S.D.),
[ 1] l'organe A.T.M. n'a qu'un rôle très
secondaire - pour ne pas dire négligeable -
à côté de la gigantesque masse musculaire
posturale de la langue, de la tête, du cou, de la nuque
et du tronc (" David contre Goliath" ! ),
[ 2] les meulages sélectifs n'ont aucune
justification scientifique puisque occlusion dento-linguo-dentaire ( semi-réflexe
et variable dans le temps) sans aucun contact dento-dentaire réflexe, [ 3] tous
les ingrédients sont présents pour aboutir un jour
( Quand
? ) à la crampe musculaire
( contracture ou décompensation de l'adaptation
neuromusculaire semi-automatique) et, [ 4] en
dehors de l'ajustage des dents via l' occlusodontologie vers une occlusion
dento-dentaire réflexe
( automatique) caractéristique de la Déglutition Salivaire
Fonctionnelle ( D.S.F.), aucun médicament
( anti-douleurs, anti-inflammatoires, IMITREX™, etc.) ni aucune autre
manipulation ( logopédie, chirurgie, kinésithérapie,
ostéopathie, etc.) ni aucune croyance quelconque
( bouddhisme, fétichisme, etc.) ne permettra le retour aux
seules conditions physiologiques réflexes, originelles et
durables, respectant le plus parfaitement possible la phase
de repos originelle de TOUS
les muscles manducateurs,
unique situation fonctionnelle qui stimule ad
minima la perception
proprioceptive chez les foetus, nourrissons,
enfants et adolescents et dont le propriocepteur desmodontal, précis du
1/100 ème au 1/1.000 ème de millimètre, n'est
qu'un des différents types de perception du système
manducateur, appareil largement décrit par
l' Anatomie et l' Histologie, et de la
manducation, fonction explicitée en
suffisance par la Physiologie et la
Biochimie. [ 5] Donc, parmis les techniques
dentaires, l' occlusodontologie est
l'unique approche médicale à dépendre simultanément
d'au moins quatre Sciences
fondamentales ( objectives) enseignées dans toutes les Candidatures en sciences
médicales.
Don
acte. |
Dans la déglutition salivaire dysfonctionnelle (D.S.D.),
EN RESUME
Cas simples et complexes de malocclusion dentaire. Quelles
que soient l'historique médical (examens et conclusions par des
généralistes et spécialistes, réussites aléatoires des traitements
précédents) et les multiples localisations musculaires, précises et
temporelles, des douleurs (myalgies), l'attention du clinicien en
Occlusodontologie sera captée par les résultats de différentes
analyses :
- Anamnèse très succincte, mais détaillée, de l'historique des
symptômes et des traitements qui ont été apportés, de leurs effets
positifs, nuls ou négatifs. Observer en même temps la phonétique
spontanée du patient, ce qui permet une ébauche grossière du futur
diagnostic occlusal.
- La règle générale d'un examen clinique en Occlusodontologie est
que le patient présente un degré d'adaptation neuromusculaire
compris entre 0 % (Physiologie) et 100 % (Pathologie franche).
L'examen clinique a pour but de déjouer les effets de l'adaptation
qui vont tous à l'encontre de la compréhension objective du
cas : l'adaptation neuromusculaire est l'ennemi n° 1 du
praticien. C'est l'arbuste qui cache la forêt amazonienne.
- L'aspect global du visage au "repos" généralisé (repos
musculaire, formes, dimensions, proportions). La malocclusion
dentaire conduit à une activité intense des muscles peauciers du
visage (rides cutanées, tics, tremblements, perlèches). Au repos
phonétique, les lèvres sont-elles entr'ouvertes ou fermées, contours
symétriques ou pas ?
- La phonétique du patient : ouverture des lèvres, disposition des
dents apparaissant derrière le rideau labial en fonction phonétique
(1), alignement horizontal des dents, apparitions ou non
de la langue entre les dents supérieures et inférieures, évaluation
sommaire de l'espace libre d'adaptation, dynamique de contraction
des muscles peauciers (orbiculaire des lèvres, muscles du menton,
etc.), crispations faciales.
(1) En
dessous de 40 ans, l'examinateur verra les dents du haut lors de la
phonation. Au-dessus de 40 ans, il verra plutôt les dents du bas :
usures ou migrations des dents supérieures
("maxillaires"), égressions des dents inférieures
("mandibulaires"). L'observation des présentateurs de télévision est
un excellent exercice didactique.
- Chez le déglutisseur salivaire dysfonctionnel, la forme du
palais sera étroite et haute, réduisant ainsi la perméabilité des
fosses nasales ("difficultés pour respirer par le nez") et
favorisant la respiration buccale. Par toute condition météo,
l'observation des passants dans une rue commerciale montre qu'il
existe beaucoup plus de "respirateurs buccaux" (plus de 75 % de la
population) que de "respirateurs nasaux" (moins de 25 %).
- Les sillons gingivaux sont profonds ("poches parodontales
d'origine fonctionnelle" chez le dégl. s. dysf.) autours des
couronnes dentaires cliniques très incomplètement découvertes, car
la gencive persiste à recouvrir les dents (infragnathie
organique, deep bite). Ceci signe des poches parodontales
d'origine non bactérienne. Seule une prolongation de l'éruption
dentaire, par traitement radical de la déglutition salivaire
dysfonctionnelle, permet de réduire la hauteur de ces poches et la
hauteur exagérée de l'Espace libre [Confer : Occlusodontologie Tridimensionnelle Physiologique
("O.T.P.") (2)].
(2) © 2001 et
suiv., Centre de Prévention Dentaire sprl
- Evaluation de l'Espace libre ("E.I.O.R.") : les tests
phonétiques ("Mississippi", test des 3 "F") (méthodes
standardisées) donne une idée globale de l'adaptation
neuromusculaire du patient aux causes dentaires de ces troubles de
l'occlusion. Les tests phonétiques seront enregistrés et étudiés en
détails séparément de l'examen clinique.
- Palpation des muscles ptérygoïdiens externes (muscles des
A.T.M.), véritables indicateurs objectifs de la malocclusion ou de
son traitement. Lors de l'examen clinique initial, attribution par
le patient de la valeur "100 %" au muscle le plus sensible
("douloureux", myalgies), un second pourcentage minimal étant
attribué au muscle hétéro latéral le moins "douloureux". Ces
pourcentages servent de références initiales (r. originelles)
pour suivre l'évolution objective du traitement occlusal, et autant
pour le praticien, que pour le patient.
- Compte tenu de l'Espace libre originel et des adaptations
neuromusculaires responsables de l'occlusion dysfonctionnelle
étudiée, l'analyse des contacts occlusaux des couples
dento-dentaires entre les dents, supérieures et inférieures, permet
de distinguer 3 catégories de patients :
- soit l'occlusion réflexe des dents naturelles existe
(occlusion "réflexe", occlusion "physiologique", occlusion "asymptomatique", Espace libre = ±
1,6 mm) = Physiologie. Lapalissade : "L'individu
sain ne consulte jamais"...
- soit la présence de bridges ou autres restaurations dentaires
contrarie l'occlusion réflexe (Espace libre inférieur à 1,6
mm) : suspicion légitime d'une surocclusion ou d'une
sus-occlusion, toujours d'origine iatrogène.
- soit l'interposition linguale induit que l'occlusion des dents
ne peut qu'être provoquée que consciemment (occlusion
"volontaire", occlusion "symptomatique", Espace libre supérieur
à 1,6 mm) : suspicion légitime d'une inocclusion, d'une
sous-occlusion ou d'une infragnathie
(infraclusion) organique ("effondrement" de la
D.V.O.), perlèches, etc. Dans ces cas, toute occlusion
volontaire des dents n'a aucune valeur clinique, puisqu'il
n'y a jamais occlusion réflexe (naturelle, physiologique)
des dents antagonistes et qu'il est indispensable d'augmenter au
préalable la hauteur des dents (augmentation de la D.V.O.) par un
Plan de Morsure Rétro-Incisif (aucune comparaison avec la
"Gouttière occlusale" [Gnathologie] ou un "Orthotique"
[Occlusion neuromusculaire, Electromyographie
crânio-mandibulaire] que nous proscrivons dans tous les cas de
malocclusion puisque, par défintition, ces méthodes ne prennent
jamais en compte la perception proprioceptive du
patient) ou par tout autre procédé "pacifique" dont l'Occlusodontologie Tridimensionnelle
Physiologique ("O.T.P.") (3) si le patient est
toujours en phase de croissance (puberté, jeune adulte).
(3) © 2001 et
suiv., Centre de Prévention Dentaire sprl.
- Lorsque de l'occlusion fonctionnelle asymptomatique est recouvrée,
restauration des contacts et guidances canines, pures ou de groupe,
et restauration du calage postérieur sur les prémolaires et les
molaires pour perpétuer cette fonction asymptomatique.
- Recherche et réduction/élimination systématique des contacts
"non-travaillants" interférant au niveau des molaires avec le seul
et unique déterminant de l'occlusion dento-dentaire ou
"perception proprioceptive" (proprioception
desmodontale, etc.)
- Harmonisation de la répartition des contacts dento-dentaires
dans les couples dento-dentaires fonctionnels lors d'une occlusion
dento-dentaire physiologie, délicatement suscitée par l'index de la
main de l'opérateur "propriocepto-conscient" (proscrire la
"manoeuvre de Dawson" puisqu'elle induit des réflexes de
défense de la part du patient).
- Tout ce qui précède n'a de sens que si le patient respecte sont
propre rôle dans la TRILOGIE
DENTAIRE (source)
: l'hygiène alimentaire et l'hygiène dentaire.
- Quant à la Chirurgie Maxillo-Faciale ("C.M.F."),
elle doit être strictement réservée là où les moyens
"pacifiques" ne peuvent aboutir à une solution acceptable
pour le patient. La C.M.F. intervient "(...) dans les domaines de
la cancérologie, de la traumatologie, de la reconstruction, de
l'esthétique, de la chirurgie implantaire et surtout de la
fonction" (1). La fonction étant un élément
moteur de la C.M.F., nous ne pouvons qu'espérer que celle-ci
fasse de plus en plus appel, non plus à la Gnathologie, ni à
l'Occlusion neuromusculaire (Electromyographie
crânio-mandibulaire), mais bien à l'Occlusodontologie,
unique méthode thérapeutique "pacifique" respectant et
englobant toutes les composantes, anatomiques et fonctionnelles, de
l'appareil manducateur et, notamment, toute la perception
proprioceptive, seul et unique déterminant de
l'occlusion dentaire.
Et si une C.M.F. s'imposerait, deux
avis éclairés de C.M.F. valent mieux qu'un. (1) Mercier J.M., Portrait du Chirurgien Maxillo-Facial -
Stomatologue, C.H.U. Hôtel Dieu, Nantes, France, [En
ligne], http://stomatonantes.free.fr/portrait.html Consulté le
03-11-2003
F.A.Q. Hygiène
dentaire. Faut-il
prendre du fluor ? Oui, de manière raisonnable et tant
qu'il y a des dents. A quoi sert le
dentifrice ? A rien si vous rincer la bouche juste
après brossage. Brosse à dent dure (hard), moyenne (medium)
ou souple (soft, ultra soft) ? Seuls les moyens
mécaniques éliminent la plaque dentaire qui "colle" aux
dents (= dépôts de sucres mélangés aux bactéries, cette association
se transformant en tartre après 48 heures par calcification autours
de ses composants) ? "Souple" si vous avez le temps de
manipuler partout le plumeau avec soin, tact et précision.
"Dure" si vous êtes toujours pressés, mais sous certaines
conditions strictes : un brossage toujours vertical, uniquement
de la gencive vers la dent et à l'exclusion de tout autre mouvement.
"Electrique" si vous aimez le bcbg, mais cela coûte
plus cher. Quand faut-il brosser les dents ?
Minimum le soir, avant d'aller dormir, et à condition de ne
plus rien manger jusqu'au lendemain (8 heures de sommeil sans sucre
= dents parfaitement propres pendant quatre mois par an).
Idéalement, après chaque repas et après chaque sucrerie.
Accessoires : fil dentaire, brossette
"mono touffe" ou "queue de rat" et douche buccale
("Karcher" de la bouche). Contrôle :
lorsque vous croyez avoir tout brossé, bichonné et nettoyé,
vérifiez le caractère "lisse comme un miroir" de
l'émail de chacune des faces dentaires à l'aide d'un toucher délicat
par la pointe de la langue.
Abréviations :
- E.I.O.R. = Espace InterOcclusal de Repos (Occlusodontologie) =
Espace libre (Gnathologie, Occlusion neuromusculaire)
- A.T.M. : Articulations Temporo-Mandibulaires
- D.V.O. = Dimension Verticale lors de l'occlusion, réflexe
(Physiologie) ou volontaire (Pathologie), des dents
L'occlusion, c'est
simple ! N'est-il pas ? |
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Occlusalement
Vôtre ! Guy |
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